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 Elinah Fitaihi

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3 participants
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Elinah
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Elinah


Féminin Nombre de messages : 7

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MessageSujet: Elinah Fitaihi   Elinah Fitaihi Icon_minitimeLun 22 Nov 2010 - 20:45

Pseudo :Li²
Age : 25
Pays : France
Statut : Joueuse
Couleur : rose pâle
Animal préféré : Chat
***

Nom : Elinah Fitaihi
Âge : 20
Sexe : Féminin

Physique :

Un bijou. Quand on regarde la dame, c'est le premier mot qui vient à l'esprit. Ses cheveux ébène, longs, très longs, caressent ses reins en une tresse lâche à laquelle se mêle un voile transparent. Son regard, d'un noir pur, englobe ceux qu'elle ose regarder avec douceur. Ses lèvres, délicieusement dessinées, sourient timidement, en un sourire qui promet mille merveilles.
Son cou halé est sans défaut, tout comme le reste de son corps, gracile et délicat. Sa poitrine que la naissance de son enfant a rendu plus ronde encore, se dessine avec candeur sous sa robe faite de l'une des plus chères soies du coin.
Une chaine fine d'or épouse sa peau, plongeant entre ses seins pour y disparaître. De petits bracelets cliquètent, à son bras droit, au rythme de ses pas.

Caractère :

Elinah peut paraître, pour un étranger, complètement insipide. Pourtant, elle fait partie de ces jeunes filles élevées avec grâce et capable de tenir une conversation on-ne-peut-plus-intéressante avec quelqu'un de sa condition et de son pays. Hélas... Qui d'autre qu'un habitant du Kushistan aimerait une demoiselle la plupart du temps silencieuse, n'ouvrant la bouche en compagnie masculine de sang noble que quand on l'y invite ? Qui aimerait une femme dont les yeux se baissent, délicieusement, quand elle parle à un homme ?
Lorsqu'elle s'énerve, seuls ses yeux le prouve. Maitresse dans l'art de tenir une maison, elle préfère et de loin, tenter de persuader son interlocuteur plutôt que de s'imposer par la force des choses. Aucun employé n'a jamais eu à subir son réel courroux, tout finissant par se régler grâce aux mots et à la patience.
Élevée dans un carcan, la donzelle semble incapable d'en sortir.

Douce, habituée aux soies les plus magnifiques, elle est telle ces poupées que l'on pose sur un petit coussinet et que l'on laisse là, de peur de les briser.
Aucune émotion trop forte ne semble jamais la traverser ; - elle a visiblement bien trop appris à les maitriser - mis à part celles peu bénéfiques, qui entrainent souvent évanouissement et maladie.

Face à un étranger ou une personne de rang inférieur, elle se contente d'être polie et adorable comme l'est toute femme bien sous tout rapport en face de potentiels domestiques.

Histoire :

Enfance, adolescence :

Née dans une famille de nouveaux riches, fille unique ayant vu le jour derrière trois fils, l'enfant eu dans sa jeunesse tout loisir de faire ce qu'elle désirait. Père ne voyait en elle qu'une bouche à nourrir qui ne servait à rien.
Jusque l'âge de dix ans, la petite se passionna donc, comme beaucoup d'autres enfants, pour les occupations de ses frères. Elinah s'imaginait, femme de sultan guerrière, l'épée à la main, défiant mille bandits et profitait de leur absence pour tester leurs épées en bois.

Quand sonnèrent ses dix ans, cependant, son monde changea du tout au tout. Père ayant gagné en fortune et en relations, il retrouva un intérêt à sa fille et décida qu'il serait de bon ton de la mater afin qu'elle puisse être mariée tôt ou tard.
De libre et à peine surveillée, elle devint esclave de lois, de connaissances qu'elle se devait de maitriser sur le bout des doigts.
Mère et l'autre épouse de Père devinrent professeurs. Les baisers se transformèrent en coups de baguette. Si elle refusa, au début, de se plier devant tant de devoirs, les coups sur ses mollets eurent raison de son tempérament rêveur et de ses envies d'escapade. Les maladies aidèrent, de même.

Dès ses treize ans, on commença à la présenter à des parents titrés susceptibles d'avoir un fils à marier. Mère lui enseigna comment « diriger » une maison [hj : donner des ordres aux esclaves quoi]. Comment plaire, aussi, à son prochain époux. Elle lui fit apprendre plus en détails le protocole en vigueur à la cours des sultans.

Ses journées étaient alors presque toutes semblables à part lorsque, malade, elle se devait de garder la chambrée. Elinah apprit à se tenir droite. A obéir. A souffrir. Qu'elle ne serait heureuse que si elle suivait ce qu'on lui ordonnait. On lui enleva tout jouet d'enfant susceptible de gâcher ses mains délicates. Elle n'eut plus le droit de tresser de fleurs car elle pouvait s'y piquer. Elle n'eut plus le droit de manier l'épée même en secret de peur de prendre des échardes. On refusa qu'elle apprenne à coudre. Surement et rapidement, on mit le rossignol qu'elle était dans une cage dorée, un carcan dont elle ne sortit jamais.

Chaque matinée, on la levait aux aurores, la faisait marcher un peu avant de la déshabiller. On se pressait, autour d'elle, détachant ses cheveux, sa robe de nuit, la mettant aussi nue qu'un nouveau-né. Là, elle se devait d'attendre que ses esclaves aient fini de masser son corps avec diverses huiles avant de plonger dans une eau chaude et parfumée.
Après, la toilette à proprement parler. Et de leurs mains habituées, les femmes la débarrassaient des saletés de la nuit, des impuretés de sa peau.
Elle devait attendre, attendre encore que l’on lui porte enfin les draps pour qu'elle puisse sortir de la baignoire et se sécher. Attendre que l’on lui passe la fine sous-chemise sur laquelle était ensuite posé le reste de son habit.
Elle devait patienter, sagement, tandis qu’on la maltraitait, lui faisant prendre telle ou telle pose, pour que ma robe passe plus facilement. Elle n'avait pas le droit d' hurler quand une femme lui tirait les cheveux à l’en faire tomber. Elle n'avait pas le droit de bouger.

Elle ne devait que se tenir droite et obéir.

Une fois parée, l’on la coiffait cette fois pour de bon, la décoiffait, jusque trouver une coiffure soi-disant parfaite pour la journée qui s'annonçait et pour laquelle elle n'avait son mot à dire.
Enfin l’on daignait lui faire porter un plateau frugal qui constituait son unique déjeuner. Elle devait, ensuite, rejoindre le reste de sa famille dans la grande salle du déjeuner et ne toucher à rien.

Venaient ensuite les habituels ordres à donner à la maisonnée. Mère s'en chargeait mais sa fille se devait de l'assister. On demandait aux cuisiniers de préparer tels plats, aux bonnes de recoudre tels draps de lit en priorité. On grondait ou faisait vendre les plus énervants esclaves. On faisait acheter de nouveaux venus.

Durant deux heures, ensuite, la seconde femme de Père enseignait à l'enfant l'étiquette. Les coups sur ses hanches, afin qu'elle soit fort droite, pleuvaient fréquemment. Suivait ensuite une heure de ballade éducative au marché.
Un peu de pain et du miel constituaient l'ensemble du repas qu'elle avait le droit d'avaler discrètement après tant d'efforts.

Venait, par la suite, le temps que la demoiselle aimait le moins. Tout en vérifiant que tout allait bien dans la maisonnée, Mère lui parlait histoire ou lui apprenait à compter. Une fois l'inspection terminée, Mère la remettait de nouveau à la seconde femme pour des cours de danse et de harpe. Celle-ci sermonnait son élève, la faisant retravailler chaque exercice jusqu'à ce qu'elle soit parfaite.
Elle ne relâchait son emprise sur la jeune fille que quand le soir, enfin, arrivait ou que l'enfant avait trop de fièvre.

Là, la délicate devait retourner dans ses quartiers, y attendre ses esclaves qui la changeaient pour le diner. On lui passait des robes merveilleuses tandis que l'une des domestiques était chargée de lui expliquer à quoi servait chaque tissu et comment les marier.

Arrivait ensuite l'exercice le plus difficile. Qu'il y ait des invités ou non, la jeune fille passait la plupart du temps à la harpe, afin de distraire frères et père. Il ne lui restait réellement que peu de temps pour manger de manière charmante ou tenir une conversation intéressante et polie. Avec le temps et beaucoup de punitions, elle apprit fort bien à maitriser cet art.

L'heure n'était pas encore à la sieste, hélas, une fois les hommes retirés. Mère repassait la journée à la loupe, une fois dans le quartier des femmes. Elinah devait rester à la harpe une heure de plus si elle s'était fourvoyée quelque part.

Enfin on la déshabillait pour lui passer une fine tenue de nuit. On détachait ses cheveux et on la bordait avec des demandes aux divers esprits auquel le peuple était attaché. On lui souhaitait que sa jolie beauté dure, que sa gentillesse demeure et qu'elle attire honneur et fortune.


Age adulte – Entrée :

Père la maria vers ses 16 ans, faisant une alliance par là avec une famille proche du sultan. Elle était jolie, habituée grâce à ses mères à tenir son rôle en société. Il voulait titre et argent. Le marié désirait une épouse objet comme toutes les autres qu'il pourrait manipuler à souhait. L'échange fut donc fait et donna lieu à un grand mariage et à un tourbillon de fêtes dont elle n'avait point coutume.
Des bras de son Père, elle passa à ceux de son époux. Un mari dont elle ne savait rien de plus que des rumeurs.

Il s'avéra qu'il s'agissait d'un homme d'une trentaine d'années. Charmant d'apparence, il se montra fort peu courtois en privé et n'accorda à sa nouvelle femme que peu d'attentions.
Si il honora la nuit de noces, la laissant choquée, il ne la visita ensuite qu'une fois bourré de temps à autre.
Il n'avait pour elle des regards qu'en public. Lorsqu'ils étaient seuls, il ne voulait être dérangé par sa personne qu'en cas de graves soucis... Soit jamais.
Elle prenait ses diners sans lui, mais avec ses deux autres épouses, ne le voyant donc que quand il voulait un déjeuner spécial, organisait des soirées, se rendait à d'autres ou encore se saoulait.
Il ne la battit jamais. Mais il ne lui porta non plus davantage d'attention... Du moins jusqu'à ce qu'arrive un incident.

Elle se lia cependant avec les deux femmes qui partageaient à présent sa vie. Aya et Melia étaient des dames magnifiques. Si la première épouse était chargée de « tenir » la maisonnée, elle n'en restait pas moins humble et offrait sans avarice des conseils à ses deux cadettes. Elle avait la trentaine et un regard tellement bouleversant que nul ne pouvait y rester insensible.
Melia était à peine plus âgée qu' Elinah et tout aussi perdue qu'elle. Elle était fort mutine et tout le temps radieuse. Tout comme la première femme, elle avait donné naissance à une petite fille qui était sa fierté mais se désolait de ne pas avoir encore porté de fils.

Elinah fut présentée à la cours du sultan quelques mois après leur union et y fit des connaissances plus ou moins agréables. Ingénue, la demoiselle ne prit pas part aux intrigues et ne chercha à se lier à ces inconnus, bien trop intimidée par ce monde qu'elle ne connaissait que théoriquement. Elle se montra cependant toujours, bien entendu, charmante mais distante comme on lui avait appris. A part envers ceux que son mari lui désignait.
Elle fit ainsi connaissance de quelques uns de ses loyaux compagnons de beuverie ; quelques hommes, qu'elle jugea plus effrayants les uns que les autres mais envers qui elle s'efforça de se montrer agréable.

Elinah tint en tout cas durant toute cette période son rôle de son mieux. Ayant trp de temps libre, elle chercha à l'utiliser pour faire le bien et, sur les conseils de ses « soeurs de mariage », s'engagea dans du pseudo humanitaire.
Elle n'eut le droit de sortir aller à la rencontre de familles dans le besoin mais s'occupa de leur faire parvenir, grâce à l'intervention des deux autres femmes, ses vieilles tenues et quelques piécettes. Parfois, elle recevait dans la cuisine des enfants mal en point à qui il fallait procurer quelques bandages et douceurs.

Age adulte – Naissance d'une nouvelle famille :

L'un des amis de son mari multiplia d'ailleurs ses visites par la suite sans doute par simple curiosité. Après tout, elle était jolie, même si elle n'en n'avait pas conscience. Il fit, durant deux ans, ce que nul homme n'avait encore réellement fait pour elle et s'amusa à la divertir avec l'approbation de son mari.
Plus il venait, plus la pauvre jeune femme bien seule aimait sa compagnie.

Hélas. Chaque chose avait une fin.
Il trahit, un soir où il avait, avec ses compagnons, abusé de la boisson, la confiance fraiche que la dame avait mis en lui. L'amitié se transforma en une violence qui la fit tomber gravement malade.

Période de délires et de fièvres se succédèrent, autant que de personnes à son chevet. Mère, Époux, inconnus désireux d'avoir les faveurs du mari, médecins, femmes d'époux...
Lorsqu'enfin elle commença à récupérer, ce fut pour apprendre une autre nouvelle. Elle était enceinte.
La nouvelle la choqua tant que sa récupération en fut ralentie.

Époux se mit en tout cas à s'occuper davantage d'elle, heureux visiblement à l'idée de devenir encore Père. Il sembla même s'arrêter de boire. L'ancien ami se fit lui bien plus discret et ne se montra plus souvent.
La seconde femme lui appris, bien après, qu'elle l'avait trouvée prostrée dans un coin. Elle l'avait nettoyée avant de la coucher et promit, avec un sourire mutin, qu'elle ne dirait mot ou ne questionnerait personne.

L'enfant naquit, huit mois après la scène d'horreur. De qui était-il, elle ne le savait. Toujours est-il qu'époux le reconnut et ordonna que sa première femme l'élève. Il arracha du sein de sa troisième femme le poupon et le remplaça par des bijoux, comme pour la remercier d'avoir donné naissance.

La pauvre Elinah dût, elle, rester alitée encore quelques mois et n'eut pas d'autre choix que de profiter de ce temps pour réfléchir. Avec le temps, la patience et la gentillesse des deux autres épousées, la présence d'Époux toujours sobre quand il venait, son cœur se calma.
Avec douceur, elle se prit d'amour pour cet enfant non désiré.
Elle commença, aussi, à pardonner à cet homme ses défauts. Si elle eut davantage de mal avec son 'ami', la damoiselle finit par atteindre une paix intérieure qu'elle n'aurait cru capable. Elle n'excusait pas son geste mais y trouvait de bonnes conséquences. Époux ne s'occupait-il à présent davantage d'elle ?

Age adulte – Suite :

La petite famille apprit donc à s'entre-supporter. Il n'était nullement question d'amour, plutôt de respect.
Si Époux recommença bien vite à la visiter de nuit afin d'essayer d'agrandir le nombre de leur descendance malgré sa réticence à elle, il la combla encore, de manière discrète. Nulle question de ballades en amoureux, de poèmes ou de ce genre de choses : il se contenta de lui faire parvenir des présents qui la mettaient en joie.
Une harpe, par exemple, magnifiquement ornée, la laissa bouche-bée.

La vie d'Elinah devenait belle, du moins à ses yeux. Hélas une fois encore, cela ne dura pas plus d'un an.

Époux avait des occupations dont elle n'avait connaissance. Si elle n'avait toujours pas le droit de le déranger, elle n'apprit que quelques temps après s'être relevée pourquoi.
Tout comme chaque noble, il obéissait au Sultan et celui-ci confiait parfois à ses servants des missions harassantes dont ils revenaient épuisés. Lui étant joueur et visiblement désireux de garder son rang, il prenait la plupart des ordres et n'hésitait pas à même en faire plus.
C'était un peu de là, sans doute, que lui venait la faveur du Sultan. Époux était prêt à braver des dangers dont elle n'avait même pas conscience... Et ce fut ce qui causa sa disparition.

Il fut appelé, un an après la naissance de fils, un soir pour une mission comme une autre dont nul ne put lui expliquer les termes. Lui qui n'était sensé partir qu'une semaine ne revint pas. Un mois. Deux passèrent, sans nouvelles.
Les amis d'Époux, ses relations vinrent la visiter, elle et les deux autres femmes. Les soutenir. Elles s'entretinrent toutes les trois de la route à suivre et Aya proposa de se rendre chez le sultan. Après délibération, il fut décidé qu'Elinah serait la représentante des trois femmes, Aya ayant trop à faire avec les enfants et la maison et Melia, de nouveau enceinte, connaissant trop peu les règles de là-bas.

Naïve, la jeune fille requiert donc auprès du Sultan une entrevue qu'on lui accorda sans délai. Elle fut reçue avec une affection visiblement non feinte mais nul ne put lui apporter de réponses. Époux avait simplement et purement disparu. Il n'y avait nulle trace de sa mort, ni demande de rançon que le Sultan promit qu'il payerait si il y avait.
Il proposa à la dame de s'installer en ces lieux en attendant davantage de nouvelles mais elle n'osa et, dans une révérence, demanda au seigneur le droit de se retirer afin de rejoindre ses « amies ».

Il n'était pas là question de sagesse. Elinah était simplement on ne peut plus perdue et vivre entourée d'hommes inconnus ne la motivait que peu. L'éducation qu'elle avait reçu lui avait appris qu'elle n'appartenait qu'à un seul et que seul lui se devait de l'intéresser.

Elles patientèrent un mois de plus, envoyant moult missives aux compagnons de leur époux pour en apprendre un peu plus sur ce qu'il faisait, se plongeant dans leurs activités humanitaires pour ne pas voir les jours défiler, avant de demander enfin un nouvel entretien.
Les enfants et le domaine seraient, selon leurs dispositions, mis sous la tutelle d'Aya si le Sultan l'acceptait. La décision des trois femmes était prise : avec humilité, elles demandèrent au sultan le droit d 'envoyer Elinah là où leur Époux était, la dernière fois que l'on l'avait vu et de le rechercher une dernière fois, en personne, afin de pouvoir faire leur deuil... Puis de se remarier ou de lui appartenir, si l'on le voulait ensuite.
Les visites des contacts d'Époux se faisaient en effet maintenant de plus en plus rares et seuls les hommes intéressés par ce qu'elles pouvaient leur apporter en temps qu'épouses revenaient à présent vers elles.

Petite note : Epoux est un Haut fonctionnaire.
Prénom d'Epoux : Kenzi
Prénom des femmes : Aya et Mélia
Prénom de fils : Ilyes

Développement de la partie avantages incovénients :
Spoiler:


Dernière édition par Elinah le Mer 22 Déc 2010 - 2:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Elinah Fitaihi   Elinah Fitaihi Icon_minitimeMer 1 Déc 2010 - 15:53

Même si j'ai un peu tardé, je te souhaite la bienvenue et te félicite : ton histoire est très développée, c'est super !! Malgré une petite rechute de langage vers la fin : "Des choses pas classes quoi" XD

Donc, et bien... pour moi c'est bon, Sezni a validé ta feuille de personnage donc tu peux essayer de t'insérer quelque part... pour l'instant, deux tables sont actives : celle de Dylis dans le Moth et celle de Sezni dans les Etats Episcopaux.
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MessageSujet: Re: Elinah Fitaihi   Elinah Fitaihi Icon_minitimeJeu 2 Déc 2010 - 19:06

Salutation et Bienvenue,

La raison pour laquelle je n'avais pas commenté ta fiche est parce qu'il y a un défaut que j'essayais de voir voir avec Sezni. En effet, ta présentation est très bien avec une bonne histoire, mais elle est complètement inadapté à ton pays d'origine. Les mœurs du Kushistant, sont assez particulière. Et j'ai un peu l'impression que tu as juste rajouté des Sultan un peu partout pour que ça cadre.

Comme Nellie te l'a dit tu peux commencer à poster, mais on va devoir un peu modifier ton histoire...
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MessageSujet: Re: Elinah Fitaihi   Elinah Fitaihi Icon_minitimeJeu 2 Déc 2010 - 20:55

Hello,

Merci pour vos réponses. A vrai dire non, Dilys, votre impression est fausse. Je suis juste une complète novice d'Anima, j'ai donc simplement essayé de faire un bg avec ce qu'on m'a indiqué. Navrée si donc cela ne colle pas avec tout. Mais je ne demande qu'à apprendre. Wink
Le kushistan était cependant mon idée en pays d'origine et non celle de Sezni.
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MessageSujet: Re: Elinah Fitaihi   Elinah Fitaihi Icon_minitimeJeu 2 Déc 2010 - 21:11

Ok Very Happy

Donc comme tu l'as vu les Kushitan est un pays dirigé par des Sultan et non par un Prince. C'est le seul pays qui considère l'esclavage comme quelques chose de tout à fait normal et à fonder leur économie dessus. Le statut des femmes est extrêmement faible la-bas. Les femmes sont considérait comme de simples parures, elle ont deux fonctions : être belle et avoir des enfants. Les hommes puissants ont des harems comme ils possèdent des palais. C'est avant tout des signes de luxures.
Ils ne confirait pas la tenue d'une maison à une compagne, ni ne chercherait à l'éduquer. Les esclaves et les serviteurs sont là pour cela.

Si tu désires, garder ton histoire, il y a peu près la moitié des pays qui peuvent y aller ( Principalement ceux du Sacro Saint Empire). Je pourrais t'orienter plus précisément si tu as envie. Tu n'auras qu'à me décrire comment tu vois ton pays d'origine.
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MessageSujet: Re: Elinah Fitaihi   Elinah Fitaihi Icon_minitimeJeu 2 Déc 2010 - 21:47

Je vais essayer de revoir ce qui ne va pas et garder l'idée de base alors plutôt. Wink
J'essayerais de voir cela lundi. Merci. Smile
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MessageSujet: Re: Elinah Fitaihi   Elinah Fitaihi Icon_minitime

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