depuis le temps que j'en parlais.. x)
Pseudo : raph-
Age : 17 piges les enfants..
Pays : la france !! (ça fait un peu partisan du fn dit comme ça..)
Statut : joueur passioné
Couleur : (?!) le blanc..? symbole de la pureté et de la virginité... ^^
Animal préféré : moi.. x) comment ça, ça compte pas !?! bah .. apres, je sais pas si on peu considerer les dragons, phenix et sphinx dedans alors..?
..sinon la loutre --'
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Nom du personnage : -Celine-
Age du personnage : ...
Nationalité: unique heritier -desehrité maintenant- de celle qui fut la prestigieuse famille De Lorme, l'une des plus ancienne Maison du Gabriel
Lieu de Naissance: surement la plus magnifique des cités de tout l'empire, d'apres ses habitants.. la magnifique cité de Dupois où il y passa toute son enfance
Ethnie: ... à determiner
Religion : ... à determiner (sans doute christianisme ou até)
Race : Humain (visiblement..)
Classe : ... à determiner (du spy ? -> l'illusiomentaliste =)
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- Spoiler:
> je pars du principe que je vais faire un mentaliste (et si vous avez bien lu, vous devez vous douter que je compte taper dans le domaine des sens/sensation (uniquement, si cela suffit) sinon, eventuellement tater de la telepathie.. / pareil, il faut que je vois avec les avantages : je prevoyais de l'elan/charme-seduction/ou ptt un heritage de sang, il faut que je vois ça...
Description physique : Celine est un jeune homme d'une vingtaine d'annees, bien fait et tres seduisant, il ne laisse visiblement pas de marbre les jolies femmes qui croisent son chemin.. (ou les hommes, c'est au choix) d'un chatain tres legerement roussi, la peau claire et les yeux d'un vert profond et envoutant, il porte une fine moustache accompagnée d'un petit bouc, et sa belle mine s'accompagne d'un majestueux chapeau à plumeau qu'il porte à son habitude legerement incliné et un petit noeux de ruban maintient ses cheveux attachés en une petite queux.
à l'alure elancée et à la tournure galante, il arbore des vetements à la mode de l'aristocratie gabrielienne - une elegante chemise de soie blanche à col ouvert (avec des petites collerettes tout le long) par dessous une petite veste de cuir brodee de fils d'argents ainsi qu'un pantalon de lin couvert par de hautes bottes de cuir, le tout parfaitement ajusté à la taille du jeune homme et sous un long manteau de cuir de meme facture, brodé de fils d'or et d'argent.. ainsi qu'une paire de gants blancs (brodés eux aussi =).
la demarche gracieuse et le pas assuré, il a tout l'air d'un veritable dandy, et se promene en permanence avec sa canne ; un objet d'une rare beauté et d'une qualité exceptionnelle, c'est l'embleme de la famille De Lorme (representee d'ailleurs au centre de leur blason, enlacée par une rose) de meme, il ne se separe jamais d'un petit harmonica en argent qu'il porte autour du cou -un cadeau de sa soeur parait il- dont il ne semblerait vouloir se separer, tout comme la canne, pour rien au monde...
Description morale : D'un naturel avenant et serviable, il aime à se donner de grands airs obligeant et courtois.. qui ravissent le coeur des jeunes filles et succitent les regards suspicieux de leurs compagnons... preferant interioriser ses emotions autant qu'il le pourra, suite à de mauvais souvenirs, il essayera tant bien que mal d'afficher en toute circonstances cet air charmeur et bienveillant qui lui sied si bien.
il aime à s'amuser - à jouer avec les gens, c'est le mot juste, mais toujours avec amabilité (voir meme parfois de la veritable gentillesse..?) et sans toutefois forcement chercher à les manipuler ou tout autre intention de ce genre... juste s'amuser.. et bien qu'il ait pris l'habitude de ne pas considerer les gens de sa classe et de n'entretenir que des relations ephemeres avec la plupart de son entourage, lorsqu'il se lie veritablement avec quelqu'un, il laisse enfin choir le masque du seducteur pour laisser place au jeune enfant en manque d'amour et d'affection qu'il n'a jamais cessé d'etre...
d'ailleurs, il semble literalement en adoration devant les trois objets qu'il emmene toujours avec lui, sa canne - qui lui a ete deleguee par sa famille plus ou moins en guise d'adieux et pour l'avoir abandonné à un destin si tragique pour un aristocrate de son rang.. et puis cet etrange petit instrument fait d'argent et de cuivre qu'il revet comme un pendentif et qu'il disait tenir de sa jumelle... ainsi que le dernier, legerement plus encombrant, un autre instrument dont il joue avec un archer - un zdrativarius - d'apres ce qui est gravé dessus : un present de celle qui fut pour lui un mentor dans la societé mondaine du gabriel, son initiatrice... ..dans les moindres details.
Histoire :Celine, "Louis-Ferdinand-Celine", pour etre exact, est né au sein d'une des plus eminente familles du gabriel, la famille De Lorme. ainsi donc, né fils de Marquis, il etait bien entendu le futur heritier de la famille. Mais bien que la majeure partie de sa famille residait à La Roche, il fut elevé dans la majestueuse cité du cygne blanc avec sa soeur jumelle, Helene, sous la tutelle de ses instructeurs personnels. Mais, il etait bien trop loin de sa famille et des reperes qu'il aurait du avoir pour rester dans le droit chemin qui seyait à un tel heritier de la haute aristocratie...
La decadence commenca lorsqu'il fut séparé de sa soeur, sa moitié.. destinée à integrer l'academie d'astria. devenu en age de poser quelques soucis à ses instructeurs, il leurs mena la vie dure, faisant d'eux ce qu'il en voulait... c'etait une sorte de don, des son plus jeune age, il avait toujours attiré l'attention des gens, et de ce fait, avait vite appris à imposer mielleusement ou par quelques caprices, ses envies et ses choix.. et puis, cette faculté à imposer sa propre volonté se mua en veritable don pour la manipulation de son entourage, jouant avec leurs nerfs et leurs emotions... on perçu les memes aptitudes chez Helene, tous deux etant d'une rare beauté des leur plus jeune age, ils attiraient deja beaucoup l'attention.. c'est pour ces raisons qu'il fut decidé tres tot -sur les conseils insistants de leurs instructeurs- de confier la petite à l'academie lorsqu'elle en aurait l'age, tandis que son frere, le -
futur heritier- se devait de poursuivre l'enseignement qu'avait reçu son pere, ainsi que son grand-pere et toute la lignee des De Lorme avant lui. bien entendu, tout cela sans en toucher mot aux deux principaux concernés, de peur de susciter chez eux une reaction qui serait assurement malvenue..
mais c'etait sans compter une separation aussi dramatique entre les deux jeunes gens, veritables piliers l'un pour l'autre, et seul veritable lien qu'ils avaient avec leur famille, car du reste, ils ne se voyaient qu'en de tres rares occasions...
nos deux jeunes gens furent donc abattus et meme revoltés par la nouvelle de ces evenements, mais là où la 1ere fut tres vite recadrée, Celine, lui, se retourna vivement contre son 'instruction' et y sema la discorde et le trouble pendant qu'il en profitait pour noyer son chagrin en prenant du bon temps et ce, bien sur, en bonne compagnie ;)
il eu d'ailleurs rapidement ses entrees dans les soirees mondaines où il y fit son nouveau milieu de vie et s'y imposa immediatement.
Pendant toutes ces belles annees où il passa -à sa maniere- à "l'age adulte" du jeune homme plein de desillusions qu'il etait devenu ; "l'eminente" maison De Lorme s'etait vue contrainte -à cause de quelques grosses difficultées, que tous s'accorderons à passer sous silence- de promettre l'unique fils de la famille à la fille d'un "vulgaire" Chevalier, mais qui avait le merite de posseder une immense fortune, qui ne cessait de s'accroitre : "l'un de ces arrivistes tout juste adoubé, qui ne cherche qu'à grimper les echelons.." comme l'avait qualifié le Marquis.. (enfin, comme tous ceux qui l'ont fait avant lui.. certes..)
voilà comment, apres avoir participé à la dilapidation de la fortune du patrimoine familial, Celine fut promis à une ravissante jeune femme qui, à l'evidence, tomba eperdument amoureuse de lui, un peu trop peut etre au gout de sa propre famille, mais ils vecurent heureux et...
et non... malheureusement, la separation brutale entre les jumeaux avait vu naitre un sentiment de manque immuable chez lui, qu'il se sentait obligé de combler par tous les moyens.
un sentiment malsain qui depuis qu'il s'etait fait sa place chez les mondains, lui avait fait rechercher la compagnie des plus ravissantes demoiselles.. et tout particulierement celles qui de part leur tenue, leur attitude ou ne serait-ce que leur regard, lui rappelaient sa moitié... et ce fut le cas de la fille d'un des plus influents marchand d'Argos, -relation de notre chevalier- venu accompagné de sa femme et de sa fille pour la celebration de l'union entre le fils du Marquis,
Louis ferdinand-Celine De Lorme, et la fille cadette du Chevalier.
et ce qui devait arriver, arriva : la fille unique de Don Costa et le jeune seducteur furent surpris... "enlacés", la nuit precedant les noces, ce qui eu pour consequence de provoquer le scandale et un vif emoi de toute la classe aristocratique et bourgeoise presente pour l'occasion, ainsi que la provocation en duel du frere ainé de la belle offensée.
Mais le reste de la noble famille de Gabriel, principalement ses freres et pere, avait reçu cet outrage d'une tout autre maniere, et avait meme tentés, à plusieurs reprises, d'eliminer notre galant. les premieres tentatives furent 'officielles', convaincus de leur victoire, mais apres ceux ci, des "incidents malvenus" eurent tot faits d'alarmer le jeune homme.
La premiere provocation fut faite par l'ainé des Chevaliers, present sur les lieux de l'outrage, Celine eu le choix des armes pour le duel qui aurait lieu le lendemain matin, et connaissant la reputation d'escrimeur hors pair de ce dernier, choisit le pistolet.. mais quelle ne fut pas sa surprise, lorsqu'au petit matin il vit se presenter un homme d'age mur, au regard froid et dur, se presentant comme le 'champion' du Chevalier.
Pour la premiere fois de sa vie, Celine ne reussit pas à detourner ou apaiser la 'rage' qu'il ne trouva point chez son adversaire, et la peur s'empara de lui, son emotion fut telle qu'il perdit totalement ses moyens. incapable de se concentrer, il fit feu presque trop tot, ce qui lui fit perdre l'equilibre dans la precipitation et chuter : logeant une balle entre les deux yeux du veteran avant meme qu'il n'ait pu tirer, destabilisé par la chute de son adversaire.. (duel que Celine remporta contre toute attente, lui meme convaincu d'avoir manqué sa cible dans la chute - n'etant deja qu'un bien pietre tireur..) l'ainé des Chevaliers - se trouvant parmi les temoins de sa partie-, le sang bouillonant contesta avec fureur le deroulement du duel, et provoqua le vainqueur pour la seconde fois - sur le champ, tirant son epee.. Celine n'eut d'autre choix que de se relever precipitement et de tirer la sienne pour ne pas se faire embrocher. mais il fut bien trop vite surpassé par la maitrise de son adversaire pour comprendre ce qui lui arrivait, et tenter d'attenuer la fureur de ce dernier, quand, dans un etrange et suspect moment de faiblesse sa part, Celine plongea - sa main semblant anormalement guidée d'elle meme, transperçant d'un seul et majestueux coup celle du grand epeiste.
Son 'honneur' et son affront lavé, Celine se cru - et par megarde- à l'abri de toute vengeance...
Mais la famille de ce dernier, ne pouvant se mettre à dos à la fois un puissant marchand d'Argos (donc proche de l'eglise et de son inquisition) et potentielement l'une des futurs plus riche famille du Gabriel ; dans la situation dans laquelle ils se trouvaient.. se vit contrainte de desheriter le jeune homme, qui plus est condamné à l'exil pendant quelques temps pour avoir abattu un homme -meme en duel- la justice etant du coté des plus influents au Gabriel...
apres leur echec, peu decidés à lacher l'affaire, les Chevaliers -pere et fils- profiterent d'occasions un rien plus discretes, d'abord le bon vieux baril de plus d'une centaine de litres de vin, se detachant mysterieusement d'un chariot à quelques metres devant lui au moment meme où il sortait d'une bijouterie ; et comme cet imprudent ne voulait pas comprendre, il eu droit à un nouvel avertissement quelque peu.. 'cinglant' : lors de la grande battue, une chasse à courre organisée afin d'abattre une louve rodant dans la region, et à laquelle il avait participé dans le seul but de recuperer la somme promise en echange de la mort de la bete.. sauf que cette fois ci, ce fut lui le gibier..
Cependant, la demoiselle en question, eperduement amoureuse de celui qui aurait du l'accompagner jusqu'à l'autel, ne put à l'evidence lui tenir compte de cette.. souillure.. qui lui avait ete faite -du moins certainement pas autant que le reste de sa famille- bien qu'elle s'efforça de ne rien laisser paraitre.. lui meme, avait fini par eprouver quelques sentiments à son egard, bien que cela ne l'avait pas empeché de s'epancher avec une autre, à la veille de la ceremonie. il en tira profit et se fit entretenir en cachette par cette derniere, jusqu'à entretenir avec elle une veritable liaison dans le plus grand secret et au nez de tous.
il resta donc quelques temps encore - dans l'anonymat le plus total (enfin, l'esperait-il), evitant de sortir ou de s'exposer de jour, il en devint familier des plus luxueuses et prestigieuses maisons closes de la haute, où là encore, il se fit rapidement ses entrees, y accedant par les terrasses où les filles l'attendaient impatiemment ..et où il logea parfois grace à elles, bien à l'abri pendant quelques jours, le temps de changer de lieu pour ne pas etre trop rapidement retrouvé.. car il le sentait, il etait sur que tapis dans l'ombre, on attendait une opportunité..
Mais alors qu'ils pensaient vivre leur idylle sous le nez de tout ce beau monde ; un soir, alors qu'ils s'etaient rejoints comme à leur habitude, il se fit surprendre pour la seconde fois en plein ebats, (decidement la premiere ne lui avait pas servi de leçon..) le soucis, c'est que cette fois là, ce ne fut pas par toute cette bande de demeurés avides d'affrontements publics mais un seul homme - capuchon tiré et dagues degainées.. bien decidé à accomplir sa tache.
à sa merci, le jeune homme n'avait aucune chance de s'en sortir.. mais bien entendu -au dernier moment, avant de commettre l'irreparable- et sous les yeux effrayés de la demoiselle, le forcené se ravisa "subitement", avant de s'enfuir dans la foulée..
juste apres cet evenement, la jeune femme decida -d'apres ses propres mots- qu'elle allait "en finir avec tout ceci une bonne fois pour toute", elle disait que son pere avait deja eu affaire à une organisation criminelle qui se vantait, à l'epoque, de pouvoir satisfaire n'importe quelle demande, pourvu -bien entendu- qu'on en mette le prix.. et qu'elle serait prete à refaire appel à leurs services s'il le fallait. quelques jours plus tard, il se sentit de nouveau surveillé, et fit part de ses inquietudes à sa douce, lui declarant qu'il souhaitait prendre le large, le temps de se faire un peu oublier...
effrayée par la nouvelle, la demoiselle redoubla d'effort pour entrer en contact avec la dite organisation.. la somme demandée etait en effet exorbitante pour le travail demandé, mais la douce enfant ne pouvait se resoudre à perdre celui qu'elle aimait (qui plus est, lorsque l'on est fille de Chevalier et que l'on est habituée à ce que personne ne nous refuse rien..) et se mit en tete se soutirer cette somme à sa famille.
Pendant ce temps, le sentiment d'etre surveillé se faisait toujours plus intense, si bien que notre seducteur finit par la convaincre qu'il s'eclipserait quelques temps seulement. prenant soin de bien se preparer, il reussit à mettre rapidement de la distance entre lui et son pays... non sans apprehensions, reconnaissons le, et la crainte omnipresente de se laisser surprendre par quelque silhouette encapuchonnée..
Apres une ou deux semaines, encore convaincu d'etre suivi, il fit parvenir un message à sa concubine pour l'informer de la prolongation de son escapade forcée ; quand, au bout de quelques jours, le calme revint subitement.. et contre toute attente, il reçut une reponse de son aimée, lui signifiant qu'elle avait obtenu satisfaction aupres de l'organisation en question et que sa protection devait dejà avoir agit à l'heure où il recevrait cette lettre. en plus de cela, elle ecrivait qu'elle avait demandé -à titre personnel- que sa "protection" se revele à lui explicitement afin de lui garantir qu'il ne s'agissait plus de ses poursuivants, et qu'elle lui delivre ce message par la meme.. bien que toujours sur le qui vive, cette nouvelle lui permit de se detendre un peu les jours suivant, et sa joie de vivre de meme que son temperament naturelement jovial et avenant lui revinrent presque immediatement, maintenant qu'il se savait en bonne garde.. mais.. en etait il certain ? neanmoins, son penchant libertin reprit le dessus, maintenant qu'il se sentait à nouveau lui meme et non plus son ombre craintive et paranoiaque.. le soir meme, il se trouvait dejà -non pas en bonne garde- mais entre de bonnes mains, en tres charmante compagnie.. comme à son ancienne habitude.
Cependant, alors qu'il se croyait enfin en securité, cela lui reprit.. cette sensation d'etre traqué et epié.. elle lui etait presque devenue familiere à force, à moins que ce ne soit ce delire paranoiaque.. toujours est il que sa soiree -dejà bien entamée- en fut totalement gachée ; il se rhabilla en vitesse, voulant rejoindre le plus rapidement possible son enieme domicile temporaire.. aux agets, il quitta le luxueux etablissement par la petite porte : ou devrais je parler du balconet où se trouvaient les filles qui ne manquerent pas d'ailleurs de le saluer par quelques mots doucereux et lourds de sens, auxquels il repondit avec sa delicatesse et esprit (là encore, par habitude ? ;)
Mais lorsqu'il arriva à destination, il comprit que cette heure ci serait probablement sa derniere ; car la sensation etait bien reelle, aussi reelle que la silhouette qu'il venait de voir passer, et qui l'attendait maintenant sur le toit.. il rentra doucement, resigné mais pas encore abattu.. arrivé dans le grand salon, il servit deux liqueurs, en leva une -humant son parfum delicieux- et la vida d'une traite, laissant l'autre ostensiblement à coté du sien.. puis il degaina lentement la lame de sa canne, deposant son 'fourreau' religieusement sur le marbre et se dirigea vers vers la fenetre d'où il pouvait observer l'ombre statique dos à la lune, qui semblait le toiser de toute sa noirceur. reprenant ses esprits, il l'ouvrit d'un seul geste, et se retira en lui souhaitant la bienvenue d'un unique "entre, je suis pres.." bien decidé à en finir.. injonction à laquelle il s'entendit repondre au creux de l'oreille -avant meme qu'il n'ait put terminer sa phrase- et accompagné d'une sensation de froid propre au metal, juste à son entrejambe : "tu serais dejà mort, si j'etais là pour ça" retirant doucement et avec volupté la lame qui le tenait en joue, la voix ajouta "je suis ta garde personnelle" tout en effleurant ses levres du bout des siennes "et rapprochée" finit elle par lacher - fichant son arme dans l'armature de la fenetre, la claquant sur le coup ; tout en rejoignant la chambre avec grace et legereté..
s'etait sans aucun doute la premiere fois qu'il se laissait mener d'une telle maniere, ce qui ne retira rien à la delicieuse nuit qui suivit... (ni meme aux suivantes d'ailleurs..)
et meme si au debut cela l'intimidait, il finit par s'accomoder à l'idee qu'elle garde ses armes sur elle.. meme dans le lit...
Au final, il etait loin du Gabriel, en bonne compagnie et en securité.. banni par les siens et desherité, il avait neanmoins acces au compte de sa dulcinée -et donc, par extension, de celui qui aurait du devenir son beau pere- alors, je vous le demande, que pourrait il esperer de plus ?
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Lun 4 Juil 2011 - 22:29
