Pseudo : Astrath
Age : 20 ans
Pays : France
Statut : Joueur
Couleur : orange, noir ou violet
Animal préféré :le loup
Nom du personnage : Astrath Ygnling
Age du personnage : 25 ans
Nationalité: Goldarien
Lieu de Naissance: Komerfest
Ethnie: Norne croisé Daevar
Religion : Aityr
Race : Humain
Classe : Paladin Noir
Description physique : Astrath est semblable à une rose noir : étrangement attirant et tout aussi dangereux. Issu d’un mélange peu commun entre Norne et Daevar, il possède la stature athlétique typique de cette ethnie à peau noire sous laquelle se dessinent de puissants muscles de goldarien. Son apparence tendant à le rendre plutôt visible, il évite autant que possible de se faire remarquer quand la situation le lui permet, même si il est souvent le premier à se jeter dans la mêlée. Ses cheveux, d’un blanc immaculé, encadrent lascivement son visage et semblent s’animer d’une volonté propre lorsqu’il combat. Pour ce qui est de son faciès, et bien….que dire ? Beau. C’est sans doute le mot qui correspond le mieux. Oh ! Il n’est pas parfait, mais disons plutôt qu’il possède assez de charme pour captiver autant les femmes que les hommes. Cependant, à cause du Sang des Grandes Bêtes qui coulent dans ses veines, sa peau possède un aspect de cuir durci, ses muscles semblent constamment contractés et ses pupilles sont légèrement fendues, lui donnant un aspect animal, ce qui ne fait qu'en rajouter à son charme.
Description morale : de nature assez renfermée, il est très peu communicatif quand on en vient à évoquer le passé. D’apparence froid, cynique et individualiste, il ne se révèle enthousiaste et solidaire que lorsqu’il considère les personnes qui l’accompagnent comme des amis. C’est un acharné qui ne se laisse pas facilement découragé, mais à qui il arrive de perdre tout sens commun lorsqu’il s’agit d’affronter des membres de l’Église. Il n’hésitera devant rien si cela lui permet d’accomplir sa vengeance : tuer l’inquisiteur responsable du meurtre de ses parents et ses amis.
Histoire : On ne se sait jamais se que le destin nous réserve, et Astrath le sait très bien.
Il n’y avait quasiment aucune chance pour que son père, Astren Ygnling -frère de l’ancien prince du Goldar, lors d’un voyage, rencontre une daevar, Emera Roth. Peu de chance que tout deux tomberaient profondément amoureux au premier regard et encore moins qu’ils donneraient naissance à un fils qu’ils appelleraient Astrath. Cependant, son oncle Kristrem ne vit pas la chose d’un très bon œil et coupa tout les ponts avec son frère. Heureusement, Astren avait hérité de leur père une demeure à quelques kilomètres au nord du Lac Endormi, ce qui leur permit de couler des jours heureux loin de l’agitation de Komerfest. Mais, les vraies raisons à cet «exil» sont plus complexes : en réalité, Astren possédait le don de contrôler le flux mystique, et Emera possédait en elle le sang de l’un des Grandes Bêtes.
L’enfance d’Astrath s’écoula dans la joie et la tendresse, alternant séances de combat avec son père et sa mère, études culturelles et excursions à Landhoff où il se fit nombres d’amis, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Ou presque…
Astrath garde très peu de souvenirs de ce qu’il se passa cette nuit là, mais quatre scènes restèrent gravées dans sa mémoire, et il lui arrive encore d’en faire des cauchemars : le feu dévorant tout. Sa mère gisant au sol, démembrée. Ses amis, transpercés de flèches. Et enfin, son père, luttant bravement contre un homme à la tenue aussi noire que sa peau, tachée de sang, une croix rouge dans le dos, avant de succomber. Au matin, il ne restait que des cendres, et c’est l’âme en peine qu’il récupéra l’épée de son père avant de se diriger vers le Sud, fuyant les étranges ombres qui rodaient parmi les décombres.
Durant plusieurs mois, il vécu comme un paria, évitant le contact avec les autres humains le plus possible, volant sa nourriture quand la chasse ne lui rapportait rien. En peu de temps, il devint une bête parmi tant d’autres, et seul l’héritage légué par sa mère lui permit de survivre : son sang. Cependant, il continuait de craindre ces ombres qui l’observaient de loin.
Au cours de ses pérégrinations, il attaqua un vieil homme qui tournait (à son goût) trop près du lieu où il s’était établi pour un temps. Il fut mis au sol par celui-ci avec une incroyable facilité, et, après quelques explications sur cette force, qu’il nommait Ki, dont il se servait, Astrath le supplia à genoux de lui apprendre ses secrets. Pourquoi le vieil homme accepta-t-il de l’entrainer ? Astrath ne le découvrira par lui-même sans doute jamais, mais l’homme avait vu en lui l’énorme potentiel latent qui ne demandait qu’à sortir. Durant plusieurs années, il l’initia aux secrets de la puissance intérieur, et Astrath se nourrissait de se savoir, subjugué par la force qu’il en tirait. Aux côtés du vieil homme, il en apprit aussi plus sur le monde qui les entourait, quelques secrets oubliés par les hommes, mais malgré ses efforts, son «maître» ne parvint pas à apaiser la vengeance qui sommeillait en son cœur.
Puis, un jour, il disparut sans laisser de traces. A la place de celui qui était devenu comme un second père pour lui, se trouvait une plusieurs tenues de tailles différentes, un gantelet en forme de tête de dragon, deux jambières, un étrange collier, une bourse contenant un peu d’or et deux lettres rédigées par le vieil homme. Dans la première, il lui expliqua qu’il était désormais apte à affronter ce monde seul, et voler par lui-même, tout en lui promettant qu’ils se reverraient. La deuxième, scellée grâce au Ki, était accompagnée d’un avertissement, indiquant à Astrath qu'il ne pourrait utiliser cette technique que lorsqu’il serait assez fort pour la supporter et vivre avec les toutes conséquences qu’elle apporterait. Pour la première fois depuis longtemps, Astrath versa toutes les larmes de son corps, remerciant de tout son cœur celui qui l’avait sortit des ténèbres.
Enfilant son nouvel équipement, son épée au flanc, il prit le chemin qu’il suivit depuis cette fameuse nuit. Le chemin de la vengeance.
Centre d'intérêt : le combat / sa vengeance
Aversion : l’Église et tout ce qui s’y rapporte / les lâches /ceux qui tuent sans raisons valables
Qualité : arrive plutôt bien à gérer son sang froid dans la plupart des situations, ne recule devant rien si ça ne contredit pas la ligne de conduite qu’il s’est fixé
Défaut : à (trop) souvent tendance à être cynique
Loisirs : chercher à se surpasser constamment, ne refuse jamais un entrainement
Choses Favorites : l’épée héritée de son père
Phobies/Peurs : araignées (à partir des tailles moyennes [genre tarentule])
Habitudes/Manies : joue avec ses cheveux quand il réfléchi au calme
Excentricité : fait preuve d'une profonde affection envers les chiots et les chatons
Phrase Favorite : c’est tout ce que tu sais faire ?
- Spoiler:
Je joue à Anima de puis presque 6 mois maintenant et suis une formation de MJ auprès du mien.
Pour l'anecdote, Astrath est le personnage que j'utilise actuellement dans mes Rps ^^