Pseudo : Faustus
Age :24 ans
Pays :France
Statut : joueur
Couleur : Noir
Animal préféré : Le faucon
Nom du personnage : Faustus
Age du personnage : 20 ans
Nationalité: Lieu de Naissance:Lieu de naissance Caliardo Remo
Ethnie: Religion : Daevar, Sans religion
Race : Humain
Classe : Ombre
Description physique :Ce qui définit le plus Faustus dans son attitude générale et son tirée a quatre épingles. Il porte le plus souvent un uniforme noir qui lui donne l'apparence d'un officier militaire. Sans être coquet il tiens a ce que son apparence soi parfaite, ses vêtements son toujours très propre et sans un pli, ses bottes parfaitement cirée les épaulettes de sa veste parfaitement ajusté. Son regard et son attitude légèrement moqueuse et sarcastique trahissent sa propension à la duplicité. Ses courts cheveux blancs sont toujours coiffé en arrière et comme pour ses vêtements Faustus tiens a ce que sa coiffure soi parfaite. Tout comme il tiens a ce que sa fine moustache parfaitement taillée. Dans l'attitude générale Faustus essaie toujours dans la mesure du possible d'avoir un maintiens parfait. Il ne s'affaisse jamais sur lui même et quand il viens à s'asseoir il le fait de manière a toujours gardée une posture droite et fière.
Description morale :
Centre d'intérêt : Faustus a une passion pour la construction de maquette en ce moment il travail a la constitution d'un modèle réduit de la ville de Kaine. En dehors de ça il aime les énigmes, les jeux d'esprit et la philosophie pour peut que son interlocuteur puisse lui donner une répartie intéressante.
Aversion : Faustus déteste par dessus tout la paresse et le laisser aller qui sont générateur de chaos. Il déteste aussi les gens négligé qui ne prennent pas soin de leur apparence et qui finalement on une attitude vulgaire.
Qualité : Fidèle, déterminé, drôle, fiable, compatissant (seulement dans certains contexte) .
Défaut Hypocrite, psychorigide, colérique, impétueux, orgueilleux, raciste (impériaux).
Loisirs : Les modèles réduit, les jolies femmes, lire des livre de philosophie. Les longue conversation idéologique.
Choses Favorites :
Phobies/Peurs : L’échec, une domination de l'empire sur l'alliance azur, les insectes.
Habitudes/Manies : Obsédé de l'ordre, nettoie et entretien ses affaires et son lieu de vie de manière compulsive.
Excentricité : Sa psychorigidité exacerbée.
Phrase Favorite : Quand je regarde la plèbe si sale et chaotique... il me vient une forte envie de nettoyer les rues.
Histoire : Ce soir là, on aurait pu croire que le destin tout entier avait maudit la famille Blaine. Pourtant, cette journée aurait dû être festive. En effet en ce soir de décembre le baron Blaine avait un fils, un héritier qui allait pouvoir reprendre la tête du clan. Mais en cette froide et orageuse nuit d'hiver, le destin semblait avoir décidé de maudire la lignée des Blaine. En effet le comte Julius Blaine en ce jour eut deux fils, deux jeunes Celsus parfaitement identique, tout du moins physiquement. Mais la règle était claire, il ne pouvait y avoir qu'un seul héritier de la famille. Julius ne pouvant se résoudre à tuer un de ses fils eut alors un éclair de génie. Il se souvint de son ami resté au Rémo, le duc Erik Ereibeschner. Cet homme et lui avait jadis combattu ensemble pour la gloire de l'empire et il se souvint en ce moment providentielle que le pauvre homme était affligé par le fait qu'il ne pouvait avoir d'enfant. Bien que cela lui déchira le coeur, Julius pris la décision en ce jour de payer un coursier qu'il envoya vers Caliardo. Ainsi à peine deux jours après sa naissance sous le signe de la tragédie, l'enfant fut envoyé avec une caravane marchande vers le Rémo ou il devait être déposé sur le pas de la porte de la noble famille Ereibeschner...
« Maitre Faustus arrêtez cela tout de suite !!! »
Alors qu'il courait partout dans le grand manoir Ereibeschner le jeune Faustus était suivit par le majordome, Alderbern Vlanislas. Bien que le visage du vieil homme laissait facilement deviner son demi siècle d'existence qu'il portait derrière lui. Pourtant Faustus ne semblait pas décidé à lui épargner le moindre effort, et redoublait d'ingéniosité et de talent lorsqu'il s'agissait de faire tourner le pauvre serviteur en bourrique. Puis, alors qu'il courait Faustus se cogna contre un homme. Celui-ci ne bougea pas d'un millimètre alors que le jeun homme lui était projeté contre le sol sous la force de l'impact.
L'homme qui se tenait devant lui portait une brigandine noire. Ses cheveux blancs son air impassible et sa carrure imposante aurait sans doute intimidé le plus vaillant des guerriers du pays...mais pas Faustus qui avait parfaitement reconnu son père. Il se jeta dans ses bras en criant.
«Papa !!! Tu es rentré»
L'homme d'ethnie Aïon posa un genou à terre et serra son fils dans ses bras. Puis il regarda au-dessus de l'épaule de son fils et vis Vlanislas le vieux majordome arriver dans la pièce. Il pris Faustus par les épaules et l'écarta de lui tout en le tenant encore, il le fixa alors dans les yeux sans ciller et dit d'un air grave.
« Fils qu'avait ont convenu pendant mes absences de la maison ?»
Faustus essayer de tourner son regard partout ou il le pouvait, comme pour échapper à la leçon de morale qu'il savait inévitable, mais son père le tenait encore par les épaules et il ne le lâcherait pas il le savait. Le jeune Celsus se mit alors à réciter une phrase qu'il connaissait par coeur, mais avec une légère pointe d'exaspération.
«Je ne dois pas faire courir Vlanislas partout. Je dois me comporter convenablement et écouter mon tuteur comme si c'était toi.»
Erik Ereinbeschner regarda successivement son fil et Vlanislas qui semblait quelque peu essoufflé.
« Apparemment tu connais ta leçon, mais tu ne l'appliques pas tellement. Je rentre de campagne et je suis fatigué. Nous profiterons de cette soirée de retrouvaille, et ensuite je choisirai la punition a appliqué pour ton manque de discipline.»
Erik regardait son fils qui ne savait plus ou se mettre et cherchait désespérément a fuir son regard puis il éclata de rire.
« Aller ne boude pas, jeune vais pas te punir alors que je ne t'ai pas vu pendant six mois. Mais à l'avenir, je veux que tu sois plus gentil et obéissant avec Vlanislas, il est ton tuteur, pas ton esclave ni ton domestique ! »
Le caporal Erik Ereinbescner avait bon être un homme respecté et craint dans son unité, dans sa propre maison il peinait à être vraiment dur et à imposer une autorité a Faustus son fils unique. Qui était sa seule famille depuis qu'une maladie foudroyante avait emporté sa femme 5 ans plus tôt.
A suivre